« Améliorer les conditions de faire des affaires au sein de l’UE doit être la plus haute priorité pour la nouvelle Commission », déclarent les signataires de la déclaration initiée par le Luxembourg et la République tchèque et publiée vendredi.
La simplification et l’harmonisation des règles de l’UE est l’une des questions qui doit être résolue pour qu’il y ait effectivement libre circulation des biens et des services. Il y a encore trop de règles nationales qui entravent cela, affirment les vingt États membres. « Une action ciblée dans ce domaine éliminera les obstacles aux activités transfrontalières. » Les règles de l’UE doivent être « robustes » et un accès égal au marché intérieur doit être garanti.
Ce sont quelques-unes des conditions importantes qui doivent être réglées pour augmenter la compétitivité dans l’UE, soulignent les signataires.
Mario Draghi, ancien Premier ministre de l’Italie et ancien président de la Banque Centrale Européenne, souligne dans son rapport récemment publié que la compétitivité de l’Union européenne doit être renforcée le plus rapidement possible. Ce rapport avait été commandé par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.
(20 septembre)