Bruxelles – L’Union européenne a ciblé lundi 28 personnes supplémentaires liées à la répression en cours du public en Biélorussie avec de nouvelles sanctions.
Une déclaration des États membres de l’UE a critiqué la « détérioration de la situation des droits de l’homme en Biélorussie » et a condamné la persécution continue de la société par le régime biélorusse.
Les nouvelles sanctions de l’UE contre le régime biélorusse du président Alexander Lukashenko arrivent avant le quatrième anniversaire de sa répression des protestations contre sa réélection en août 2020, dénoncée par l’UE et d’autres comme frauduleuse.
Les nouvelles sanctions portent le total à 261 personnes et 37 entités
Parmi les nouvelles personnes ciblées figurent des membres du pouvoir judiciaire, des responsables pénitentiaires et la directrice générale de la plus grande agence de presse d’État, l’Agence télégraphique biélorusse (BelTA), Iryna Akulovic.
Au total, les sanctions de l’UE contre les personnes et organisations biélorusses s’appliquent à 261 individus et 37 entités. Cela implique un gel des avoirs détenus dans le bloc.
De plus, il est interdit aux personnes et entreprises de l’UE de faire des affaires avec les cibles sanctionnées en Biélorussie. Les individus biélorusses ciblés par les sanctions de l’UE sont également interdits de voyage dans le bloc. (5 août)