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Praha – Les principaux accents du travail de la Commission européenne d’Ursula von der Leyen seront l’augmentation de la compétitivité, la lutte contre les prix élevés de l’énergie, mais aussi le renforcement de la sécurité et de la capacité de défense de l’Europe. À l’occasion des 100 jours de fonction, qu’elle atteindra la semaine prochaine, l’a dit à ČTK le commissaire tchèque Jozef Síkela. Selon lui, la Commission tente depuis son entrée en fonction début décembre de l’année dernière de procéder et de changer les choses très rapidement, soulignant notamment le travail sur une réduction notable de l’administration principalement pour les petites et moyennes entreprises.

L’ancien ministre de l’Industrie et du Commerce de STAN Síkela, en tant que commissaire européen pour les partenariats internationaux, s’occupe de la supervision de la coopération internationale et de la politique de développement européenne. Il a déclaré qu’il ne pouvait même pas compter les pays et les projets qu’il a visités au cours des premiers mois de son mandat. Il a principalement mentionné le voyage de décembre en Mauritanie, où il a signé pour l’UE un accord de soutien budgétaire d’une valeur de 100 millions d’euros (environ 2,5 milliards de couronnes), la visite du Forum économique mondial à Davos ou sa participation à la réunion du président angolais Joao Lourenço à Paris. Il s’est également penché sur le corridor de Lobito, qui est destiné au transport des matières premières nécessaires à la fabrication de batteries et de véhicules électriques du Congo et de la Zambie vers le reste du monde à travers l’Angola, mais aussi sur la question de la protection de la forêt tropicale au Congo. « Il y a beaucoup d’activités et je vais maintenant les poursuivre avec un voyage d’une semaine en Asie centrale, où je visiterai le Kirghizistan, le Kazakhstan, le Turkménistan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan. Il y a là une agenda très intense et des projets très importants pour l’Asie centrale, mais aussi pour l’Europe et les entreprises européennes, » a-t-il dit.

Síkela prévoit également de participer à l’assemblée annuelle de la Banque mondiale à Washington, et visitera à cette occasion aussi New York pour s’entretenir avec des représentants d’entreprises américaines. « Une chose est que certaines actions de l’administration américaine, mais la tradition de partenariat transatlantique, que ce soit sur la protection de la démocratie et de l’État de droit, que ce soit dans le domaine de la coopération militaire, mais surtout en matière de commerce, est si longue et si profonde qu’il faut la protéger, » a-t-il déclaré. Aux États-Unis, il souhaite également contrer les propos du président Donald Trump, selon lesquels l’UE a été créée dans le but de nuire aux États-Unis.

La Commission dans son ensemble, selon Síkela, s’efforce de changer rapidement les choses. Selon lui, certaines législations importantes ont été rapidement établies. « Il y a des choses très positives, comme, par exemple, nos soi-disant omnibus et une réduction significative de l’administration, en particulier pour les petites et moyennes entreprises, » a-t-il ajouté. La Commission continuera de se concentrer sur le renforcement de la compétitivité, la lutte contre les prix élevés de l’énergie, l’augmentation de la sécurité et de la capacité de défense de l’Europe. (9 mars)