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This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by Europa Press.

O Grove (Galicia) – Le ministre de l’Économie, du Commerce et de l’Entreprise du gouvernement espagnol, Carlos Cuerpo, a affirmé ce vendredi que les investissements chinois en Espagne ne sont pas menacés, malgré les tarifs douaniers sur les voitures importées du géant asiatique que Bruxelles entend établir, et a opté pour attirer une production qui génère de l’emploi dans le pays.

C’est ce qu’il a indiqué devant les médias après que les gouvernements européens n’ont pas réussi à réunir une majorité suffisante ni en faveur ni contre les tarifs douaniers sur les voitures électriques importées de Chine, ce qui redonne à la Commission européenne le pouvoir d’adopter dans les prochains jours la décision définitive qui rendra permanents les tarifs que l’UE impose de manière provisoire depuis le mois de juillet dernier.

Lors du vote, seuls cinq pays ont voté contre la proposition de Bruxelles de rendre permanentes ces taxes, parmi eux l’Allemagne, qui craint les conséquences d’une guerre commerciale avec Pékin. Selon diverses sources diplomatiques informées par Europa Press, l’Espagne et onze autres pays se sont abstenus, tandis que dix autres ont voté en faveur.

Le ministre espagnol a estimé que l’une des clés pour avancer dans la protection du secteur automobile, « et plus encore dans un segment où il y a actuellement une certaine distance par rapport aux technologies avancées, est l’arrivée d’investissement ».

« Et un investissement qui, en plus, soit un investissement productif, qui génère de l’emploi, qui génère une production locale, le développement de valeur ajoutée en Espagne. C’est l’objectif et je crois que c’est la voie par laquelle nous continuerons à avancer pour protéger ce secteur qui, comme je l’ai dit, est un secteur clé », a-t-il ajouté.

Cuerpo a expliqué que l’Espagne s’est abstenue lors du vote car c’est une option « cohérente » avec la position du pays consistant à « essayer de renforcer la négociation » entre l’Union et les producteurs et autorités chinoises « pour être capables de trouver une solution négociée, accordée entre les parties ».

« Au-delà de l’imposition de tarifs douaniers, nous devons continuer à avancer dans cette négociation, car il est important de protéger un secteur aussi stratégique que le secteur automobile, et le faire en évitant une escalade de mesures commerciales qui pourraient être préjudiciables pour tous », a-t-il souligné. (4 octobre)