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Prague – La plupart des entreprises tchèques ne sont pas encore prêtes pour les nouvelles règles de transparence salariale qui entreront en vigueur à la mi-2026. Selon une directive européenne, les entreprises devront publier les salaires des hommes et des femmes pour les mêmes postes, afin de contribuer à réduire les écarts salariaux. Six employeurs tchèques sur dix ne connaissent même pas encore les écarts salariaux réels au sein de leurs propres structures, a révélé une analyse du cabinet de conseil Deloitte, dont les conclusions sont à la disposition de l’AFP.

La directive européenne devrait réduire les écarts salariaux entre hommes et femmes. Dans l’UE, les femmes gagnent en moyenne 12,7% de moins par heure travaillée que les hommes. En République tchèque, l’écart est encore plus marqué, atteignant 17,9%. Selon les nouvelles règles, les entreprises de plus de cent employés devront régulièrement publier les différences salariales entre les sexes, et si cet écart dépasse cinq pour cent, elles devront analyser les causes et remédier à la situation. En outre, tous les employeurs seront désormais tenus de publier le salaire d’entrée ou sa fourchette pour les postes proposés.

« La transposition de la directive entraînera une plus grande transparence et prévisibilité des rémunérations, nous pouvons également nous attendre à une pression accrue sur la hausse des salaires. Mais il est également nécessaire de prendre en compte les changements dans les processus de rémunération internes et la charge administrative assez considérable, tant pour les entreprises qui devront créer des aperçus des postes, des compétences et des rémunérations, que pour l’État, qui collectera les données salariales et sanctionnera les éventuelles lacunes, » a déclaré Jana Černá du cabinet juridique Deloitte Legal.

Mais l’analyse de Deloitte a montré que seules 22 % des entreprises ont commencé à se préparer à la mise en œuvre des nouvelles règles, et un quart n’a même aucune idée de comment se préparer à la directive. Trois cinquièmes des entreprises ne connaissent pas non plus les écarts salariaux entre hommes et femmes au sein de leur entreprise. (21 novembre)

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