hr flag go to the original language article
This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by HINA.

BRUXELLES – La commissaire européenne à l’élargissement, Marta Kos, a averti mercredi que la violence contre les manifestants en Serbie ne doit pas être tolérée et s’attend à ce que la police continue de veiller à la sécurité des manifestants.

« Le droit de réunion est un droit fondamental qui doit être respecté et ce droit doit être exercé pacifiquement et conformément à la loi. Des incidents contre les manifestants ont été rapportés et nous attendons une enquête complète, impartiale et rapide », a-t-elle déclaré dans une lettre ouverte de la commissaire Kos rédigée en réponse à plusieurs lettres qui lui ont été adressées par des représentants de la communauté académique serbe, des politiciens, des organisations de la société civile, et dans lesquelles une inquiétude a été exprimée concernant la situation actuelle en Serbie.

« La violence ne doit pas être tolérée. Nous attendons de la police serbe qu’elle continue de s’occuper de la sécurité des manifestants. Un langage qui incite à la violence et le manque de respect mutuel ne peuvent pas être une solution », met en garde Kos.

 En Serbie, les manifestations durent déjà depuis plus de trois mois après la chute d’une marquise sur la gare ferroviaire de Novi Sad, qui a tué 15 personnes. Les manifestations sont menées par des étudiants qui exigent la responsabilité des institutions et une enquête transparente sur cet accident. Ils accusent le gouvernement du président serbe Aleksandar Vučić que la corruption a conduit à cet accident. À plusieurs reprises, des manifestants ont été attaqués, accusant pour ces attaques les sympathisants du parti au pouvoir.

La commissaire à l’élargissement déclare que l’adhésion à l’Union européenne nécessite un effort intense de toute la société, que cela « doit être un projet national appartenant à tous : le gouvernement, le parlement, l’opposition, la société civile, chaque région, ville et village, et finalement chaque citoyen du pays. » (5 février 2025.)