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Bruxelles – La Tchéquie et le Luxembourg proposent à la Commission européenne des améliorations pour le marché unique de l’Union européenne. La principale priorité devrait être la simplification et l’harmonisation des règles de l’UE concernant les biens et services et, dans la mesure du possible, l’application du principe de reconnaissance mutuelle. Cela découle d’un document auquel ČTK a eu accès et qui est soutenu par une vingtaine d’États membres de l’union. Les Tchèques et les Luxembourgeois comptent le présenter lors de la réunion des ministres de l’industrie de l’union le 26 septembre à Bruxelles.

Le soi-disant non-paper, un document non officiel destiné à un débat à huis clos, fait également référence aux récents rapports de Enrico Letta et Mario Draghi, qui traitent précisément de l’avenir du marché intérieur de l’UE et de la compétitivité de l’union. La Commission européenne devrait publier d’ici juin 2025 une nouvelle Stratégie pour le marché unique (Single Market Strategy), comme cela a été exigé par le sommet de l’UE et par les ministres responsables de la compétitivité.

« Le marché intérieur est un avantage concurrentiel fondamental pour l’UE. Pour la République tchèque, il a toujours été essentiel qu’il soit l’une des principales priorités de la Commission européenne. L’Europe est confrontée à des défis significatifs et la poursuite de l’approfondissement du marché intérieur ainsi que son efficacité accrue sont des outils clés pour y faire face avec succès », a commenté Jozef Síkela, ministre tchèque de l’industrie et futur commissaire européen de la République tchèque. Par conséquent, selon lui, Prague, en collaboration avec le Luxembourg, a sollicité le soutien d’autres pays du bloc et a finalement réussi à envoyer « un message politique fort signé par 20 États membres » concernant la nécessité de renforcer considérablement le marché intérieur au cours des cinq prochaines années, a ajouté le ministre tchèque.

« Pour améliorer le marché unique, nous devrions nous concentrer sur la qualité, la cohérence et la mise en œuvre des règles plutôt que sur leur quantité », indique le document. Selon la Tchéquie et le Luxembourg, la Commission européenne devrait s’assurer que les règles du marché unique soient simples, prévisibles, uniformes et rigoureusement applicables. (20 septembre)