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Stockholm – Selon les estimations de la Commission européenne, seulement environ 20 % des personnes qui n’ont pas reçu le droit de rester dans l’UE quittent réellement l’Union. Cela a conduit à des promesses de propositions futures de l’UE concernant des règles communes actualisées pour les expulsions – mais aussi des souhaits de créer des « centres de retour » pour regrouper les personnes ayant reçu l’ordre de partir.

Les trois partis suédois au pouvoir, les Modérés, les Démocrates chrétiens et les Libéraux, ainsi que le parti de soutien les Démocrates suédois, soutiennent désormais cette approche, selon le ministre suédois de la Migration Johan Forssell.

“Nous voulons maintenant que la Commission élabore une proposition concrète à examiner, tant sur le plan pratique qu’en abordant les questions juridiques existantes”, déclare Forssell à TT.

L’accord qu’a conclu l’Italie avec l’Albanie pour gérer une partie de la gestion de l’asile italien sur le sol albanais est, selon lui, un exemple de l’intérêt que pourraient porter les pays extérieurs à l’UE à accueillir ce type de centres.

Quels pays pourraient être concernés, il ne souhaite toutefois pas spéculer.

“C’est précisément ce que nous voulons que la Commission examine. Il est important que tout soit fait dans le respect des conventions internationales, ce qui est facilité si cela se fait au niveau de l’UE, plutôt que bilatéralement”.

Les centres étaient l’une des « solutions innovantes » discutées lorsque les chefs d’État et de gouvernement de l’UE ont tenu un sommet à Bruxelles en octobre.

(19 novembre)

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