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Les négociateurs en chef ‘populaires’, sociaux-démocrates et libéraux, parmi eux le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, ont conclu un accord ce mardi pour renouveler les hauts postes de l’Union européenne (UE) qui propose un deuxième mandat pour Ursula von der Leyen en tant que présidente de la Commission européenne, nomme l’ex-premier ministre portugais, le socialiste Antonio Costa, comme président du Conseil européen, et désigne la première ministre d’Estonie, la libérale Kaja Kallas, comme Haute Représentante pour la politique étrangère.

Des sources diplomatiques ont confirmé à Europa Press l’accord entre les trois principales familles politiques qui comptent sur la majorité qualifiée parmi les États membres pour faire avancer l’accord au Conseil. Cela signifie que le pacte ne pourra pas être bloqué par les ultraconservateurs dirigés par la première ministre d’Italie, Giorgia Meloni.

Von der Leyen, Costa et Kallas sont les trois noms qui seront présentés au sommet des dirigeants de l’UE ce jeudi et vendredi à Bruxelles pour ratifier le renouvellement des postes européens, selon des sources de Moncloa. Ces noms avaient déjà été discutés depuis la semaine dernière lors d’un premier sommet informel des dirigeants à Bruxelles.

Bien qu’il ne fasse pas partie formellement de la répartition des hauts postes, il a été envisagé lors des négociations que la Maltaise Roberta Metsola, du parti populaire, soit présidente du Parlement européen pendant la première moitié de la législature.

Les négociations, réalisées par vidéoconférence, ont compté avec la participation du président du gouvernement, Pedro Sánchez, aux côtés du chancelier allemand, Olaf Scholz, pour les socialistes. Les dirigeants des partis populaires étaient le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotákis, et le polonais, Donald Tusk, tandis que pour les libéraux ont négocié le président français, Emmanuel Macron, et le premier ministre néerlandais, Mark Rutte.

Selon l’accord, le poste de président du Conseil aura un mandat de deux ans et demi, avec la possibilité d’un second mandat, comme cela a été pratiqué avec les précédents présidents tels que Charles Michel, Donald Tusk et Herman Van Rompuy. Cette décision a été prise après que le Parti populaire européen ait suggéré la semaine dernière de diviser le poste pour qu’un leader populaire assume le poste en 2027. (25 juin)