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Lvov – Une coalition internationale d’environ 40 pays, y compris la Slovénie, a soutenu à Lvov la création d’un tribunal spécial pour le crime d’agression contre l’Ukraine, qui fonctionnera sous l’égide du Conseil de l’Europe (CE). Il sera compétent pour enquêter, poursuivre et juger les dirigeants politiques et militaires de la Russie.

Les ministres des affaires étrangères et les hauts représentants d’environ 40 pays ont adopté une déclaration dans laquelle ils se sont engagés à établir un tribunal spécial pour le crime d’agression contre l’Ukraine dans le cadre du CE. Les pays s’efforceront d’établir rapidement le tribunal et soutiendront également son fonctionnement, comme l’indique la déclaration publiée sur le site web du ministère ukrainien des affaires étrangères.

Comme l’a indiqué la Commission européenne, le tribunal spécial sera compétent pour enquêter, poursuivre et juger les dirigeants politiques et militaires russes, « qui portent la plus grande responsabilité pour le crime d’agression contre l’Ukraine ». Selon des informations non officielles, il s’agit de 20 à 30 des plus hauts représentants russes.

Le président russe Vladimir Poutine ne pourra cependant être jugé, selon des sources au sein de l’UE, qu’après la fin de son mandat, car il bénéficie d’une immunité en vertu du droit international.

La Slovénie était représentée par la secrétaire d’État au ministère des affaires étrangères Melita Gabrič. Comme l’a indiqué le ministère, la Slovénie s’est engagée à garantir la justice et la responsabilité, qui sont essentielles pour maintenir l’ordre juridique international.

Avant la réunion du soi-disant groupe de contact pour la création d’un tribunal spécial pour l’Ukraine, une réunion informelle des ministres des affaires étrangères de l’UE a eu lieu à Lvov, dans l’ouest de l’Ukraine. Gabrič a souligné que « la réunion à Lvov est un signe de notre soutien à l’Ukraine et notre engagement commun pour la paix et le chemin ukrainien vers l’UE ». (9 mai)