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Ljubljana – L’Institut de recherche InnoRenew CoE réalisera au cours du premier semestre 2025 une expérience dans l’espace avec un biofilm fongique, qui peut être utilisé pour protéger les matériaux. Au sein de l’institut, le biofilm fongique est développé par une équipe de recherche dans le cadre du projet ERC ARCHI-SKIN, cette recherche sera la première à étudier l’impact de l’espace sur les matériaux vivants d’ingénierie. Le projet de cinq ans, obtenu en 2022, vaut deux millions d’euros.

L’Institut de recherche InnoRenew CoE, basé dans la ville côtière d’Izola, est engagé dans le développement de matériaux de construction durables et de biotechnologie. Sous la direction de la chef de projet ARCHI-SKIN Anne Sandak, il explore les matériaux vivants d’ingénierie qui peuvent s’adapter et répondre aux changements environnementaux. L’équipe de recherche interdisciplinaire développe ainsi un biofilm pour protéger les matériaux tels que les biomatériaux, le béton, le plastique et les métaux. La caractéristique clé de ce biofilm est sa capacité naturelle d’auto-réparation, a indiqué l’institut.

L’équipe de recherche transportera le biofilm fongique en orbite dans le cadre de la mission Mission Possible 2025. Il s’agit de la première mission de la société The Exploration Company, qui sera lancée sur une fusée SpaceX Falcon 9 au cours du premier semestre 2025. Lors de la mission, une capsule de démonstration transportera 300 kilogrammes de charge utile en orbite terrestre, y compris le satellite MayaSat-1 de la société Genesis SFL. La capsule restera dans l’espace pendant trois heures, puis réintégrera l’orbite et retournera sur Terre, ont-ils indiqué.

« Participer à la mission Mission Possible est pour nous une opportunité unique d’étudier les effets de la microgravité et des niveaux de radiation accrus causés par les conditions spatiales », a souligné Anna Sandak. (29 août)