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Bruxelles – Le dîner de travail de la réunion de jeudi du Conseil européen à Bruxelles a été marqué par les premiers débats sur la préparation du cadre financier pluriannuel (CFP) de l’UE pour 2028 – 2035. C’est ce qu’a confirmé le Premier ministre slovaque, Robert Fico (Smer-SD), à l’issue des négociations. Selon lui, la Slovaquie souhaitera avant tout que la politique de cohésion et l’égalisation des paiements aux agriculteurs soient maintenus, rapporte le correspondant de TASR.

Fico a rappelé que le président du Conseil européen, António Costa, a averti les participants au sommet qu’il ne s’agissait que de discussions informelles sur le futur budget à long terme de l’UE. C’est pourquoi aucune discussion n’a eu lieu sur des moyens financiers concrets ni sur les soi-disant « lignes rouges » des différents États membres.

Le Premier ministre a constaté que le CFP après 2027 devra tenir compte du remboursement des prêts d’un montant total de 750 milliards d’euros, que l’UE a créés via le plan de relance pour les futures générations européennes (NGEU). Cela signifiera annuellement 20 à 30 milliards d’euros. De plus, le CFP devra, selon lui, veiller à des dépenses plus élevées pour la défense ainsi qu’à l’élargissement de l’UE, ou à l’éventuelle adhésion de nouveaux États membres, qui seraient également concernés par les dépenses du budget commun.

« La présidente de la Commission européenne voulait entendre les premiers avis et, sur cette base, elle présentera ensuite en juin la première proposition de budget à long terme pour discussion, » a expliqué Fico.

À la question de TASR sur les priorités du gouvernement slovaque lors des discussions sur l’augmentation ou la réduction des chapitres budgétaires du CFP, le Premier ministre a noté qu’il était allé au sommet avec le mandat du Comité du Parlement national slovaque pour les affaires européennes et étrangères. Selon lui, il doit parler de cohésion sur ce sujet, afin que la politique de cohésion en faveur du développement des régions ne diminue pas, et aussi de la protection des besoins des agriculteurs slovaques dans le cadre de la politique agricole commune.

« Ce sont les deux objectifs de base que nous poursuivons en ce qui concerne le budget. Je ne veux pas parler maintenant des lignes rouges, nous ne connaissons pas encore ces chiffres, nous ne savons pas où cela se terminera. Les paiements directs en Slovaquie sont à 80 pour cent de la moyenne dans l’UE. Chaque pays qui a des paiements plus faibles essaie de les augmenter et il existe toujours un mécanisme de compensation », a ajouté le Premier ministre slovaque. (21 mars)