sl flag go to the original language article
This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by STA.

Ljubljana/Bruxelles – Le Premier ministre slovène Robert Golob estime qu’il est « grand temps que le service extérieur européen et la Commission européenne préparent un avis et des mesures supplémentaires concernant la violation manifeste par Israël des dispositions de l’accord d’association ». Le fait qu’une grande majorité des pays à Bruxelles ait soutenu la révision de cet accord a été considéré par la ministre des Affaires étrangères Tanja Fajon comme un pas en avant.

« Comme je l’ai déjà dit maintes fois, ce qui se passe à Gaza est inacceptable, incompréhensible et irrationnel. La souffrance et le meurtre de la population palestinienne, la destruction de toute possibilité de solution politique sous la forme d’une solution à deux États, tout cela ne mène nulle part et va à l’encontre de tous les principes de la communauté internationale moderne ainsi que de l’humanité fondamentale, » a déclaré Golob dans un communiqué.

La ministre des Affaires étrangères Fajon a qualifié le soutien de la grande majorité des États membres de l’UE à la révision de l’accord d’association, qui inclut également le respect des droits de l’homme, de pas en avant.

La haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères Kaja Kallas a annoncé, après la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE mardi, que la Commission examinerait la mise en œuvre de l’article 2 de l’accord d’association avec Israël. Le deuxième article de l’accord, qui régit principalement les relations commerciales entre l’UE et Israël, stipule que les relations entre les parties reposent sur le respect des droits de l’homme et des valeurs démocratiques.

« Nous voulons aider les gens. Nous voulons lever le blocus de l’aide humanitaire pour qu’elle atteigne les gens, » a déclaré Kallas, qui a qualifié la situation dans l’enclave palestinienne de catastrophique.

Celle-ci est le résultat du blocus israélien de la livraison d’aide humanitaire, qui a duré depuis le début de mars jusqu’à lundi, lorsque l’aide est à nouveau arrivée dans l’enclave.

Parmi les États membres qui ont le plus plaidé pour l’examen de l’accord, on trouve, en plus de l’Espagne et de l’Irlande, la Slovénie. Les Pays-Bas ont également appelé publiquement à cet examen. (20 mai)