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This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by EFE.

O Pino (A Coruña) – La présidente de la Commission Européenne (CE), Ursula von der Leyen, a admis ce samedi à O Pino (A Coruña), municipalité où elle s’est rendue pour participer au pèlerinage du PP, qu’il y a « inquiétude » pour l’État de droit, mais a indiqué que l’Europe « protège » lorsque ce dernier est compromis.

Sans allusions explicites à la loi d’amnistie, Von der Leyen, qui a pris la parole après le leader des populaires, Alberto Núñez Feijóo, a précisé que l’UE doit « protéger les citoyens contre toute menace » et pour cette raison, l’Espagne et les autres pays membres « doivent avoir confiance en nous ».

Si elle obtient un deuxième mandat, a-t-elle dit, elle aura à cœur que « protéger les citoyens lorsque ces valeurs sont compromises » est essentiel.

« Nous devons bien prendre soin de notre Europe », a-t-elle harangué.

En particulier, Von der Leyen n’a pas manqué l’occasion de s’adresser à l’Ukraine, qui « lutte sur son territoire pour notre sécurité ». Elle a garanti que « nous ne pourrons jamais être à la hauteur du peuple ukrainien, mais nous serons à ses côtés ».

Europe, un chemin de « paix, d’espoir et de valeurs »

Ursula von der Leyen a assuré que l’Europe suit un « chemin similaire de paix, d’espoir et de valeurs » communes à celui du chemin de Saint-Jacques depuis des siècles, et a plaidé pour aider l’Ukraine et protéger les agriculteurs et les pêcheurs.

Von der Leyen a fait ces déclarations lors de son intervention dans un pèlerinage organisé par le PP dans la municipalité de O Pino, où étaient également présents le leader de ce parti, Alberto Núñez Feijóo ; le président de la Xunta de Galice, Alfonso Rueda, et les principaux candidats du parti aux élections européennes du 9 juin prochain.

La présidente de la CE, qui avait auparavant visité la cathédrale de Saint-Jacques en compagnie de Feijóo et de Rueda, a souligné que ce temple et le chemin de Saint-Jacques sont « au cœur de l’Europe », ajoutant qu' »elle ne pouvait pas se présenter à un deuxième mandat à la présidence de la CE sans visiter Saint-Jacques ».

Elle a souligné que pour « compléter le chemin, il faut du courage, de la foi et de la résilience », en plus de « bons compagnons », et a demandé de voter pour le PP aux prochaines élections.

Lors de son intervention devant quelque 5 000 participants au pèlerinage, le septième organisé par le PP dans cette petite municipalité voisine de Saint-Jacques de Compostelle, la dirigeante européenne a souligné que la Galice est « une histoire de succès pour Feijóo », qui a gouverné cette communauté pendant quatorze ans, et a également félicité Rueda pour sa victoire il y a trois mois.

Von der Leyen a souligné que certains des valeurs européennes et du chemin de Saint-Jacques sont menacés, mais a plaidé pour maintenir l' »union » des 27 États membres et des 450 millions d’habitants pour renforcer la paix.

Elle a observé que la population ukrainienne « lutte pour son territoire » et pour « notre sécurité », et a considéré que bien que l’Union européenne « ne puisse pas être à la hauteur du sacrifice de la population » de ce pays, après l’invasion militaire de la Russie en février 2022 qui a occupé une partie de celui-ci, « nous serons à ses côtés aussi longtemps qu’il le faudra ».

Von der Leyen a également souligné la nécessité de « protéger » des secteurs comme l’alimentation et a affirmé que les agriculteurs sont « les premiers à se lever tôt le matin pour travailler dur afin d’apporter à la table les aliments dont profite » la population. Par conséquent, elle a exprimé son « respect et sa gratitude » pour leur travail.

Elle a reconnu les difficultés dues à l’augmentation des prix des semences et des engrais, mais a averti qu’il est « inacceptable qu’ils vendent en dessous des coûts de production », et a donc plaidé pour « des garanties » pour une « concurrence juste avec les pays tiers ».

Elle a également souligné que « la pêche est un art, une compétence, une vocation transmise par des générations de Galiciens » et a loué le fait que ce secteur ait permis pendant « des décennies » de contribuer à la « sécurité alimentaire ». (1er juin)