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La Commission européenne a lancé en 2022 une proposition de loi pour lutter contre la diffusion d’images d’abus sur des enfants sur Internet. En particulier, l’obligation pour les plateformes en ligne et les services de messagerie d’utiliser des technologies permettant de scanner les messages privés des utilisateurs à la recherche d’images d’abus sur des enfants, y compris sur des services de messagerie chiffrés comme Signal ou WhatsApp, a suscité beaucoup de controverse ces dernières années.

Il y a donc beaucoup de résistance de la part du Parlement européen et plusieurs États membres, dont l’Allemagne, parlent d’une atteinte « disproportionnée » à la vie privée.

La Belgique n’a pas encore pris de position sur le ‘contrôle des discussions’, mais plus tôt ce mois-ci, lors d’un débat à la Chambre, il est apparu qu’aucun parti n’est en faveur.

Après des années de discussions difficiles, le Danemark, actuellement président du Conseil de l’UE, a maintenant décidé de retirer la mesure controversée du texte, dans l’espoir d’arriver à un accord. Le dépistage des images d’abus sur des enfants resterait donc volontaire, rapporte Euractiv. Le Danemark a fait de la protection des mineurs sur Internet l’un des points centraux de sa présidence. 

De plus, le temps presse pour approuver une nouvelle législation. Un régime transitoire, dans lequel les plateformes Internet dépisteraient sur une base volontaire la diffusion de matériel d’abus sexuels sur des enfants, expirera en avril de l’année prochaine.