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Paris – Quarante-trois milliards d’euros de pertes, tel est pour l’Union européenne le coût des phénomènes météorologiques extrêmes de l’été dernier, selon une étude dirigée par Sehrish Usman de l’université de Mannheim (Allemagne) avec deux co-auteurs de la Banque centrale européenne.

La recherche s’appuie à la fois sur des données météorologiques et des modèles économiques d’estimation des dommages, rendus plus intenses par le changement climatique.

Elle prend en compte les conséquences directes comme la destruction de routes, d’immeubles ou de récoltes lors d’inondations, mais aussi indirectes comme les pertes de production induites par le temps de reconstruction d’une usine, les pertes en vies humaines ou les coûts liés à l’adaptation.

L’étude intègre également les impacts à plus long terme. En les prenant en compte, d’ici à 2029, les coûts macroéconomiques engendrés par les catastrophes de l’été 2025 pourraient atteindre 126 milliards d’euros.

L’Espagne, la France et l’Italie ressortent comme les pays les plus touchés, chacun faisant face cette année à des pertes supérieures à 10 milliards d’euros. (15 septembre 2025)

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