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Ljubljana – La directive européenne qui établit des mesures pour la transparence des paiements doit être transposée dans le droit slovène dans les limites minimales prescrites, sans introduire d’obligations supplémentaires qui dépasseraient le niveau européen convenu, ont appelé jeudi l’Association des employeurs de Slovénie. Avec leurs partenaires, ils s’efforcent de reporter l’entrée en vigueur de la directive, car elle serait en contradiction avec certaines législations sectorielles européennes.

Le but de la directive européenne, adoptée en juin 2023, est entre autres de réduire l’écart salarial entre les sexes en garantissant une plus grande transparence des salaires. Selon les constatations de la Commission européenne, cela constitue l’un des principaux obstacles à l’élimination des inégalités salariales. Les États membres doivent la transposer dans leur législation nationale d’ici le 7 juin 2026 – la Slovénie fait partie de ceux qui ne l’ont pas encore fait.

Dans l’Association des employeurs de Slovénie, ils ont souligné qu’ils s’efforcent « de sensibiliser et d’éliminer toute différence injustifiée dans les paiements entre les sexes, mais la Slovénie est l’un des pays avec le plus petit écart salarial dans ce domaine ». Selon les dernières données, il est de cinq pour cent.

La directive garantit également le droit d’accès aux salaires des employés effectuant un travail identique ou un travail de valeur égale, et introduit une obligation de reporting sur les différences de salaires entre les sexes pour les entreprises de plus de 100 employés. Les mesures s’appliquent tant aux entreprises publiques qu’aux entreprises privées. (14 août)