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This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by ANP.

LUXEMBOURG (ANP) – Dans les temps à venir, des négociations supplémentaires auront lieu. La loi européenne sur la répartition fixe chaque année quels pays doivent reprendre combien de demandeurs d’asile d’un autre pays de l’UE. Surtout des pays comme l’Italie et la Grèce, où de nombreux migrants entrent dans l’UE, souhaitent que d’autres pays reprennent des demandeurs d’asile d’eux.

Des pays comme les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne, la Suède et la Finlande estiment qu’une loi européenne sur la répartition ne peut être mise en place que si les règles de Dublin sont respectées. Celles-ci stipulent que le pays où un demandeur d’asile entre dans l’UE et demande l’asile est responsable du traitement de cette demande. L’Italie et la Grèce respectent à peine cette règle. En conséquence, les demandeurs d’asile se rendent dans d’autres pays de l’UE pour y demander l’asile.

« Une partie de la solidarité est que Dublin fonctionne », a déclaré le ministre néerlandais David van Weel (Asile). Selon Van Weel, l’Italie et la Grèce sont compensées par ce fonds de solidarité, par de l’argent, de l’aide ou la reprise de demandeurs d’asile. « Il doit également y avoir un engagement à bien appliquer Dublin. »

La Belgique et l’Allemagne estiment également qu’aucun fonds de solidarité ne peut être créé tant que le système de Dublin ne fonctionne pas.

Entre autres, les Pays-Bas, la Belgique et la Finlande vont racheter l’obligation de reprendre des demandeurs d’asile d’autres États membres. Pour chaque demandeur d’asile qu’un pays de la Commission européenne doit reprendre, 20 000 euros doivent être payés.

(14 octobre 2025)