nl flag go to the original language article
This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by ANP.

LUXEMBOURG – En échange de fonds, les pays ont promis des réformes et des investissements en faveur du climat des affaires. Le gardien des finances européennes constate que cela n’a pas encore donné de résultats suffisants.

Après les importants dommages économiques causés par la pandémie de coronavirus et les confinements, l’UE a mis en place un fonds qui a accordé aux États membres 650 milliards d’euros de prêts et de subventions pour aider, par exemple, à la numérisation et à la transition écologique. Pour être éligibles à cet argent, les pays de l’UE devaient élaborer des plans avec des objectifs spécifiques.

Avant même la pandémie de coronavirus, l’UE avait formulé des dizaines de recommandations aux États membres pour améliorer leur climat des affaires, telles que l’amélioration de l’accès au financement, la simplification des systèmes fiscaux et la réduction de la charge réglementaire. Dans leurs plans de relance nationaux, tous les États membres ont inclus au total plus de quatre cents réformes et investissements liés à ces recommandations. Le coût de ces mesures s’élève à environ 109 milliards d’euros.

Seule une petite partie de ces réformes a donné des résultats, affirme la Cour des comptes européenne. La plupart des réformes ont pris du retard et la majorité des résultats se fait encore attendre, selon le membre de la Cour Ivana Maletić. « Avec le fonds, il devrait être plus facile de faire des affaires, mais son potentiel n’est pas pleinement exploité. »

Plus tôt cette année, la Cour des comptes a publié un rapport critique sur le fonds de relance européen. Elle y a écrit qu’il était encore très incertain que les États membres fournissent les performances promises en échange de l’argent. Il y avait également des risques de traitement inégal entre différents États membres. De plus, la Cour a prévu que les coûts du fonds de relance, officiellement appelé le mécanisme de relance et de résilience (RRF), vont augmenter.

(27 octobre 2025)