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Paris – Entre 2018 et 2023, « nous avons perdu environ 9.000 km2 » bruts de terres au profit de la construction, « une surface équivalente à la taille de Chypre », indiquent les auteurs – 41 journalistes et scientifiques de onze pays – d’une enquête coordonnée par le réseau Arena for journalism in Europe et intitulée « Green to Grey », dans un communiqué.

Chaque semaine, ce sont près de 30 km2 de terres qui sont artificialisés, et chaque jour l’équivalent de 600 terrains de football, alertent-ils.

Ces résultats montrent que les données de l’EEA « sous-estiment probablement l’ampleur de l’artificialisation en Europe », au moins 1,5 fois plus importante selon les conclusions de l’enquête, qui s’appuie sur une analyse d’images satellitaires, à la résolution plus fine que celle de l’EEA, couplée à un modèle d’apprentissage automatique. 

L’artificialisation, pour construire des hébergements, usines ou routes mais aussi parfois des activités touristiques, se fait d’abord sur les espaces naturels, comme les forêts, les prairies ou les zones humides, dont 900 km2 sont détruits chaque année. (1er octobre 2025)

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