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Paris – Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella a décidé mardi de rompre son alliance historique avec le parti allemand AfD après une énième provocation d’un de ses dirigeants, laissant ouvertes les hypothèses de recomposition des extrêmes droites au Parlement européen après le vote du 9 juin.

« Nous ne siègerons pas avec l’AfD », a indiqué à l’AFP son directeur de campagne, Alexandre Loubet, confirmant une information du quotidien Libération.

Le RN craignait de voir les derniers jours de campagne pollués par les scandales de ses partenaires d’outre-Rhin : ce week-end, la tête de liste d’AfD), Maximilian Krah, avait encore estimé qu’un SS « n’est pas automatiquement criminel » dans un entretien au quotidien italien La Repubblica.

Jusqu’à présent le RN a manœuvré pour éviter de rompre avec l’AFD afin de maintenir le groupe Identité et démocratie (ID) au Parlement européen, dans lequel lepénistes et membres de l’AfD occupent respectivement 18 et 10 sièges, sur 63. (21.05/2024)

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