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Bruxelles – La Slovénie devra, selon les calculs actuels, fournir environ 700 millions d’euros de garanties pour le nouveau prêt de l’UE à l’Ukraine, dont le financement utiliserait les avoirs russes gelés, a déclaré à son arrivée à la réunion des ministres des Finances de l’Union le ministre slovène Klemen Boštjančič.

Comme l’a indiqué Boštjančič, la discussion se poursuit encore au sein de l’UE sur la part des 210 milliards d’euros, montant total disponible pour financer le prêt à l’Ukraine, pour laquelle les États membres de l’UE fourniront des garanties. Il est question de 50 ou 75 pour cent, a-t-il précisé.

« Pour la Slovénie, il apparaît pour l’instant que la garantie s’élèverait à environ 700 millions d’euros », a-t-il expliqué. Il a souligné qu’il s’agit d’une garantie qui ne serait mobilisée que dans « certains cas assez extrêmes ».

Il a en outre mis en garde contre de nouveaux retards dans la recherche de solutions pour l’utilisation des avoirs russes gelés afin de soutenir l’Ukraine, car plus tard ce type de solutions coûterait encore plus cher à l’Union qu’aujourd’hui.

Il a ajouté que c’est l’Europe qui a le plus grand intérêt à ce que la guerre en Ukraine se termine le plus rapidement possible, non seulement pour des raisons de sécurité, mais aussi en raison d’autres questions, principalement économiques. « S’il y a un domaine où l’Europe est plus forte que la Russie, c’est précisément sur le plan financier. Il n’y a absolument aucun doute à ce sujet », a souligné le ministre.

Les ministres des Finances ont débattu jeudi de la proposition d’un nouveau prêt de 90 milliards d’euros de l’Union européenne à l’Ukraine, dont le financement utiliserait les avoirs russes gelés dans le cadre des sanctions contre Moscou en raison de son agression contre l’Ukraine. Selon la proposition présentée la semaine dernière par la Commission européenne, les garanties pour le prêt seraient fournies par les États membres, qui, selon les assurances de Bruxelles, ne seraient utilisées que si les institutions financières de l’UE qui détiennent les avoirs russes devaient les restituer à la Russie. (12 décembre)