de flag go to the original language article
This article has been translated by Artificial Intelligence (AI). The news agency is not responsible for the content of the translated article. The original was published by APA.

Kopenhagen (APA) – À la veille du sommet de la Communauté politique européenne à Copenhague, plusieurs participants se sont réunis jeudi – parmi eux le chancelier autrichien Christian Stocker du parti conservateur ÖVP ainsi que la présidente du Parlement européen Roberta Metsola – pour renforcer la lutte commune contre la migration irrégulière en Europe. Le gouvernement danois, qui détient actuellement la présidence du Conseil de l’UE, est considéré comme un dur dans la lutte contre la migration irrégulière.

Dans une déclaration conjointe, les chefs d’État et de gouvernement, notamment de Belgique, du Danemark, d’Allemagne, d’Autriche, d’Italie, des Pays-Bas, de Suède, de Bulgarie, de République tchèque et d’Andorre, ont souligné « la nécessité d’une approche globale et d’innovations pour faire face aux défis en constante évolution de la migration illégale ». Ils souhaitent s’entraider dans leurs efforts dans des domaines clés.

Lutte renforcée contre les passeurs

Ils souhaitent donc intensifier la lutte contre les réseaux de passeurs et sécuriser les frontières extérieures. Un « cadre juridique robuste et des systèmes d’asile » devraient protéger contre l’exploitation, mais dissuader ceux qui « tentent de saper nos systèmes ». Les cadres internationaux, y compris la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Convention de Genève relative au statut des réfugiés, devraient être mis en œuvre de manière à protéger contre les abus et à permettre aux gouvernements de faire face aux défis modernes. En mai, une lettre de neuf États membres de l’UE avait suscité de vives critiques : ils demandaient de modifier l’interprétation de la CEDH afin de faciliter l’expulsion des criminels étrangers. L’initiative lancée par le Danemark et l’Italie a également été soutenue par l’Autriche.

Les États soulignent également dans leur déclaration l’importance de permettre des retours efficaces et efficaces. De nouveaux partenariats innovants, y compris avec des pays tiers, devraient accélérer le traitement et réduire la pression à l’intérieur. « Nous devons renvoyer ceux qui n’ont pas de droit de séjour dans notre pays. Aujourd’hui même (jeudi ; NDLR), l’Autriche a de nouveau expulsé un criminel syrien vers la Syrie. L’Autriche reste ainsi le seul pays européen à procéder à des expulsions vers la Syrie et est donc un précurseur européen », a déclaré Stocker. Les ministres de l’Intérieur de l’UE souhaitent discuter de la nouvelle proposition législative de l’UE sur les retours lors de leur prochaine réunion le 14 octobre à Luxembourg. (02.10.2025)