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Parlement européen (Strasbourg, France) – Les députés européens ont voté mercredi un texte qui réclame à la Commission de « mettre en place un mécanisme » qui permettrait « à toute personne résidant dans l’Union qui n’a toujours pas accès à un avortement sûr et légal » de se déplacer à moindre coût dans un autre des 27 pays membres qui, lui, autorise ces soins.

Le mécanisme serait financé par Bruxelles et des Etats membres sur la base du volontariat.

L’accès aux interruptions volontaires de grossesses diffère nettement d’un pays européen à l’autre : il est protégé par la Constitution en France, mais très restreint dans d’autres Etats. 

C’est notamment le cas à Malte, où certaines femmes « sont dans le désarroi le plus total », a dit à l’AFP l’eurodéputée écologiste française Mélissa Camara.

En Pologne, un pays de 38 millions d’habitants qui dispose d’une des législations les plus strictes en la matière, seuls 896 avortements ont été pratiqués en 2024, selon des chiffres officiels.

Cette initiative a principalement été plébiscitée par des eurodéputés des groupes de gauche et du centre. (17 décembre 2025)

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