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Varsovie – L’an dernier, Frontex a enregistré plus de 239.000 entrées irrégulières dans l’UE, avec une proportion de femmes parmi les migrants détectés « légèrement supérieure à 10 % ».

   Les données de l’agence de garde-frontières et de garde-côtes basée à Varsovie ont été saluées par la Première ministre italienne d’extrême droite, Giorgia Meloni, et interviennent au moment où les partis anti-immigration obtiennent de bons résultats aux élections en Europe.

Ces chiffres « révèlent une baisse significative de 38% des franchissements irréguliers des frontières de l’UE en 2024, atteignant le niveau le plus bas depuis 2021, lorsque la migration était encore touchée par la pandémie de Covid », déclare Frontex dans un communiqué.

Cette diminution est principalement due à une chute du nombre des arrivées par la Méditerranée centrale et les Balkans occidentaux, sur fond cependant d’une « violence croissante » des passeurs.

« La coopération renforcée de l’UE et de ses partenaires contre les réseaux de passeurs a considérablement réduit les traversées aux frontières extérieures de l’Europe », juge Frontex. (14 janvier 2025)

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