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Bruxelles – En raison de désaccords sur le financement de l’énergie nucléaire, les États membres de l’UE n’ont pas adopté de déclaration commune lors d’une réunion ministérielle. Dans un projet de ce que l’on appelle les conclusions du Conseil, il a notamment été fait appel à la réduction de la bureaucratie et à de meilleures conditions pour les petites et moyennes entreprises, a indiqué la présidence hongroise du Conseil. 

Deux États membres de l’UE n’ont cependant pas pu accepter le texte en raison des formulations concernant le financement de l’énergie nucléaire. Selon des informations de l’agence de presse dpa, il s’agit de l’Allemagne et de l’Autriche. Dans un communiqué de presse du ministère fédéral de l’économie après la réunion, il a été déclaré qu’une formulation avait été soutenue, respectant la souveraineté énergétique des États membres, «mais les fonds de l’UE ne doivent pas non plus être alloués à des technologies qui ne sont pas soutenues par tous les États membres». L’Allemagne soutenait cependant, en principe, les objectifs mentionnés dans la déclaration. 

L’énergie nucléaire, un sujet controversé dans l’UE depuis des années

Le ministre hongrois de l’économie, Marton Nagy, a déclaré qu’il était impossible de se mettre d’accord depuis des années sur l’opportunité de considérer l’énergie nucléaire comme une technologie propre ou non. Cela soulève également la question de savoir si les fonds de l’UE devraient être utilisés pour promouvoir cette technologie. Finalement, une déclaration a été adoptée en tant que conclusion présidentielle sans le soutien de l’Allemagne et de l’Autriche. Le texte exact n’a pas été publié au départ. 

La France est particulièrement un partisan de l’énergie nucléaire. Le voisin de l’Allemagne y voit une technologie clé pour une économie neutre en CO2.

La compétitivité est actuellement une priorité absolue dans l’UE. De nombreux politiciens et représentants économiques craignent que l’Europe ne soit économiquement éclipsée par ses concurrents des États-Unis et d’Asie. L’industrie automobile est particulièrement sous pression, mais de mauvaises nouvelles viennent également d’autres secteurs, tels que l’industrie sidérurgique. Le ministère allemand de l’économie a déclaré que la bureaucratie devait être réduite, l’accès au financement amélioré et les prix de l’énergie réduits. (29 novembre)

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