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AMSTERDAM (ANP) – Les Pays-Bas deviendront le siège d’un bureau de recherche international sur l’Holocauste, si cela est approuvé par la Commission européenne. Le soi-disant siège principal sera hébergé au NIOD Institut pour les études de guerre, de l’Holocauste et du génocide, situé à Amsterdam, ont annoncé le ministre néerlandais de l’Éducation, de la Culture et des Sciences Eppo Bruins et Vincent Karremans, secrétaire d’État responsable de la commémoration de la guerre.

Plus tôt ce mois-ci, la demande de création et de mise en place de l’installation de recherche a été envoyée au nom des pays participants (en plus des Pays-Bas, il s’agit de la Belgique, l’Allemagne, Israël, la Croatie, l’Autriche, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie, la Tchéquie et le Royaume-Uni) et des instituts de recherche, ont indiqué les ministres dans une lettre au Parlement. « Ce projet contient des détails importants, tels que l’emplacement du siège principal aux Pays-Bas, la création de la personne morale à créer et les statuts conceptuels convenus. »

Après approbation de Bruxelles, le consortium de recherche peut commencer immédiatement. Cela est important, selon une annexe de la lettre, car les chercheurs souhaitent commencer en janvier 2025, « au moment de la commémoration des 80 ans de la libération d’Auschwitz ».

L’idée du consortium est que les informations provenant des pays concernés soient regroupées. « Il s’agit notamment de photos, de vidéos, d’archives papier et numériques. Par exemple, sur les transports par train pendant la Seconde Guerre mondiale, les lettres des personnes dans les camps de concentration et la recherche scientifique récente sur l’Holocauste. »

Bien qu’il y ait beaucoup d’informations sur l’Holocauste, elles sont encore « dispersées dans des milliers d’archives, bibliothèques, musées et autres institutions ». Cette fragmentation rend les recherches difficiles pour les chercheurs, selon les ministres.

Cela doit être résolu par le bureau de recherche. « Ainsi, des lettres d’Auschwitz ou des photos de la libération de Bergen-Belsen, qui se trouvent actuellement dans de nombreux archives et collections, pourront être trouvées d’un seul coup derrière un ordinateur. Une grande partie des sources sera bientôt consultable numériquement. Aussi pour le grand public, par exemple les personnes effectuant des recherches sur leur histoire familiale, l’installation de recherche sera accessible. »

Le gouvernement néerlandais contribue à hauteur de 300 000 euros par an jusqu’en 2035.

(30 juillet 2024)