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 Copenhague – Le président français a souhaité que l’Europe franchisse « un pas » dans « la politique d’entrave » de la flotte fantôme qui permet à Moscou d’exporter son pétrole en contournant les sanctions occidentales, et dont un des navires a été arraisonné par la France.

Il a fait cette déclaration à Copenhague où se tenait un sommet de dirigeants européens.

Le capitaine de nationalité chinoise de ce pétrolier sans pavillon sera jugé en février pour « refus d’obtempérer », ont annoncé les autorités judiciaires françaises.

« Il est extrêmement important d’accroître la pression sur la flotte fantôme parce que ça réduit clairement la capacité de la Russie à financer son effort de guerre », a dit Emmanuel Macron.

« Dans les prochains jours, nos chefs d’état-major, en coordination avec l’OTAN, dans le cadre de la Coalition des volontaires, se réuniront pour bâtir des actions communes », a-t-il annoncé.

Le doute plane par ailleurs sur l’éventuelle implication de ce bateau dans des survols de drones qui ont perturbé le trafic aérien au Danemark, pays au large duquel il croisait au moment des faits. (2 octobre 2025)

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