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Bruxelles – La Commission a précisé mercredi les « mesures de sauvegarde » annoncées début septembre pour calmer la colère de cultivateurs et d’éleveurs et arracher un feu vert de la France à l’accord avec le Mercosur.

Bruxelles promet un « suivi renforcé » des « produits sensibles » tels que la viande bovine, la volaille, le riz, le miel, les œufs, l’ail, l’éthanol et le sucre. Elle prévoit de transmettre tous les six mois aux Etats et au Parlement européens une évaluation de l’impact des importations en provenance du Mercosur.

Une enquête serait lancée si les prix d’un produit du Mercosur sont au moins 10% inférieurs à ceux d’un produit identique de l’Union européenne et que le volume des importations détaxées augmente de plus de 10%. 

En cas de préjudice grave, l’UE pourrait temporairement remonter les taxes douanières sur les produits concernés.

Dans « la plupart des cas urgents », elle promet d’activer des mesures de sauvegarde provisoires en 21 jours maximum.

A l’annonce de ces mesures début septembre, Paris avait salué un pas dans la bonne direction, sans pour autant donner son feu vert. (8 octobre 2025)

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