La possibilité de lancer un euro numérique étudiée par la Banque centrale européenne interroge certains citoyens. Une fausse idée qui revient régulièrement à ce sujet sur les réseaux sociaux concerne l’impact que ce projet pourrait avoir sur l’argent en espèces.
L’Europe taxera les bénéfices des multinationales, accord sur le marché carbone, l’UE et l’Azerbaïdjan construiront un câble contournant la Russie, pas de ventes de moteurs de drones à la Russie, le Kosovo demande le statut de candidat à l’UE.
La Bosnie-Herzégovine attend depuis presque sept ans le statut de candidat à l’UE. Les 27 chefs d’État et de gouvernement de l’UE ont désormais donné leur feu vert à l’unanimité. Toutefois, ce pays des Balkans occidentaux de 3,3 millions d’habitants doit d’abord entreprendre des réformes difficiles.
Les ministres européens sont d’accord pour offrir à la Bosnie-Herzégovine le statut de candidat, soupçonnée de corruption, l’eurodéputée Eva Kaili se dit innocente, les Kosovars pourront bientôt entrer dans l’UE sans visa, Emmanuel Macron s’est fait remplacer par Olaf Scholz à Bruxelles pour assister au match France-Maroc, encore une semaine pour fixer le plafond du prix du gaz.
Des internautes s’alarment, dans des publications partagées des centaines de fois depuis le 30 novembre sur Facebook et sur Twitter, de l’installation, en Lettonie, d’un sapin de Noël décoré d’une « croix gammée ». Cette installation, visible dans une vidéo filmée par le média russe Ruptly, serait le signe d’un « retour décomplexé » du « nazisme » en Europe. Si cet arbre de Noël a bien été illuminé dans la ville lettone de Lielvārde, il est orné de plusieurs ugunskrusts (« croix de feu »), un symbole immémorial des peuples baltes, qui faisait partie du folklore letton bien avant que le régime nazi s’en empare, comme l’explique notamment un spécialiste de la culture lettone à l’AFP. La polémique autour de cette installation a été alimentée sur Telegram par l’ambassade de Russie en Lettonie, dans un contexte de tensions entre l’ancienne république soviétique et le Kremlin à propos de l’invasion russe de l’Ukraine.